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REFLEXION DE L’ARTISTE

 

À l’issue de la deuxième grande guerre mondiale (1939-1945), des millions de personnes de tous pays, dont des jeunes hommes dans la vingtaine quittaient leur famille et tout ce qu’ils connaissaient pour immigrer. Certains sont venus en Amérique. J’ai voulu raconter leur histoire qui est aussi celle de mon père Francesco Angeloro, de ses amis et de sa génération, tous partis à la recherche d’un rêve américain à la hauteur de leurs ambitions et de leurs aspirations.

 

En même temps, j’ai voulu mettre l’emphase sur le fait que les raisons même de la réalité immigrante demeurent toujours les mêmes, car personne ne quitte son pays pour aller refaire sa vie ailleurs simplement pour le plaisir de l’aventure. Immigrer ce n’est pas partir en voyage. Immigrer, c’est d’accepter de s’abandonner à l’inconnu avec l’espoir que les choses iront bien; c’est de croire qu’il est possible de faire évoluer sa condition politique, sociale ou économique. Immigrer c’est dur, parce que c’est de chercher à rester soi-même en sachant qu’on ne le sera plus, ni soi ni sa descendance.

 

La toile intitulée La mer de l’espoir rassemble les émotions et états d’âme des immigrants alors qu’ils s’approchent de leur nouvelle terre.

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